A mon propos – Biographie

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Ils devront comporter la mention © Fabrice Bianchin, site web : fabricebianchin.wordpress.com/

Fabrice BIANCHIN

né le 9 août 1973, à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne

pour me contacter : fabrice.bianchin@gmail.com

Introduction

Voilà comment je suis venu à m’intéresser à l’archéologie et, plus tard, à la parapsychologie en passant par l’étude des ovnis.

Tout a commencé à l’âge de 8 ans environ. A l’époque, on vient d’aménager à Bayonne, dans le Pays Basque. Mes parents viennent d’ouvrir une boulangerie et je passe mon temps libre à lire, dévorant surtout des bandes-dessinées. Un jour pas comme les autres, je décide de me rendre à la bibliothèque de la ville, comme poussé par une force invisible. Une fois arrivé sur place, je me suis dirigé instinctivement vers une étagère, totalement au hasard, située pourtant loin de l’entrée. J’ai pris en main un ouvrage et quand j’ai regardé son titre, j’ai vu qu’il traitant d’une ancienne civilisation amérindienne que je ne connaissais pas : les Mayas.

Des années durant, je me suis intéressé à cette civilisation, en lisant plusieurs ouvrages sur la question. Rapidement, je me suis posé des questions car bien des énigmes restaient non résolues, en particulier sur  leur origine et les causes de leur disparition.

J’ai voulu en savoir plus, en me renseignant davantage. De fil en aiguille, je me suis plongé sur l’origine, vivement débattu, des premiers amérindiens.

De là est venu mon intérêt pour la préhistoire, compulsant là encore bon nombre d’ouvrages. Le mystère s’est épaissi, et toutes ces zones d’ombre m’ont définitivement intrigué. J’ai commencé à prendre des notes, décidé de reprendre l’enquête à zéro, tout en prenant en compte les découvertes réalisées sur le terrain, même celles qui étaient rejetées, pour le seul motif qu’elles n’entraient pas dans la doctrine officiellement acceptée.

Pour me permettre d’élargir mes opinions, j’ai commencé à consulter divers livres à la marge de la science. En effet, beaucoup d’écrivains, férus de mystères, ont prospéré dans les années 70, avec plus ou moins de sérieux et de succès.

Chronologie

En 1989, je participe à des fouilles archéologiques gallo-romaines, à Aiguillon, dans le Lot-et-Garonne.

En août 1991, au cœur de l’été, j’expérimente pour la première fois mes trois premières expériences ayant pour thème la parapsychologie, en particulier l’auto-hypnose pour la bonne et simple raison que je préfère expérimenter moi-même plutôt que de devoir croire sur parle d’autres personnes.

En mars 1993, je refais une nouvelle régression d’auto-hypnose, juste avant de me rendre dans le pays qui me fait rêver depuis l’âge de 8 ans : le Mexique. En avril, je m’envole là-bas et j’ai la chance de visiter de nombreux sites archéologiques : en premier lieu Teotihuacán, la Cité des dieux, mais aussi l’énigmatique temple circulaire de Cuicuilco à Mexico City. Dans le sud du pays, au Yucatan, je découvre entre autres Chichen-Itza, Uxmal, Tulum, autant d’endroits qui m’ont tant fait rêver auparavant quand je les voyais en photos . La même année, en aout, je fête mes 20 ans à bord d’un bateau longeant le Nil, en Égypte. Je me rappelle encore des visites du célèbre plateau de Guizeh, mais aussi d’Abydos et Denderah. Sacré année! En septembre, j’entame la lecture du Mahâbhârata. Le texte que je découvre me passionne, et bien que l’idée me dérange, il me semble très probable que les dieux soient des êtres réels. Je commence à mettre par écrit mes premières réflexions (ouvrage qui sortira finalement en 2016).

En 1994, je suis féru depuis des années des livres et de la théorie de  deux auteurs extraordinaires, Messieurs Guy guygruais-guy-mounymounyGruais et feu Guy-Claude Mouny. Alors quand j’apprends qu’ils donnent une conférence à Carcassonne, j’implore mes parents de m’amener les voir. En juin, je pars visiter Londres avec un ami, visitant l’exceptionnel British Museum, et prenant des notes dans les salles consacrées à l’Égypte ancienne et à la Mésopotamie.

En 1995, je me mets en tête d’expérimenter une solution mathématique pour résoudre et décoder les quatrains de Nostradamus, connu dans mon département, le Lot-et-Garonne, pour avoir vécu à Agen quelques années.

En mars 1996, j’obtiens mon concours administratif et je monte travailler à Paris, à la Défense. En avril, je connecte mon ordinateur à internet, une époque où le réseau n’était pas encore connu du grand public. Je lance dans la foulée une des premières listes de discussion sur les Ovnis. A l’époque, la communauté internet est très limitée, mais la liste rassemble déjà les webmestres des sites internet traitant de la question. Au départ, je suis persuadé que ces objets sont bel et bien terrestres, appartenant à l’armée américaine (projets Top Secret). En Septembre de la même année, je me rends une dizaine de jours à Mexico, pour rencontrer des correspondantes, mais aussi visiter ce pays pour la deuxième fois. Je visite le site archéologique de Tula et je prends le temps de visiter le merveilleux musée anthropologique de Mexico, où je reste une journée entière.

De l‘été 1997 au mois de mai 1998, je fais une série de découvertes spectaculaires, toutes liées à la géométrie sacrée des anciens. Bien que terre à terre, je me rends compte que le hasard m’a aidé à maintes reprises. Je prends conscience peu à peu qu’en écoutant mon intuition, je découvre toujours plus d’éléments inédits. Je me mets dans l’état d’esprit qui me permet de l’exploiter au maximum parce qu’à ce moment-là de mes enquêtes, sans cette aide innée, je peux rechercher des heures sans rien trouver de nouveau. Je note dans le détail le résultat de mes enquêtes et quelques mois plus tard, j’entreprends de les envoyer à mes auteurs préférés (Messieurs Gruais et Mouny) pour lecture et avis. Très vite, et à ma grande surprise, je reçois un appel téléphonique de Guy Gruais.

1998 : Une relation particulière et fort agréable s’installe par courrier interposé avec les deux auteurs, et ils me font connaître un de leur ami, le professeur Gérard Demarcq. Quelques semaines plus tard, Messieurs Gruais et Mouny donnent une conférence à la FNAC de Lyon, et j’y suis invité. Je loge chez M. Demarcq, qui habite à proximité. Le 21 juin, pendant mes vacances estivales, je me rends à Calès, une minuscule commune de Dordogne, qui d’après mes recherches, a peut-être un lien avec une des lectures du célèbre médium Edgar Cayce.

En 1999, je restreins les recherches plusieurs mois et ça me fait du bien. Je programme tout de même un séjour dans le Morbihan, avec en tête l’idée de visiter la grande majorité des mégalithes répertoriés.

L’an 2000 va être une année très riche dans le domaine de mes recherche. Le début d’année voit le lancement d’une liste de discussion vouée à l’archéologique mystérieuse, et, de part ses intervenants de qualité, elle est aussi intéressante qu’enrichissante. En parallèle, je me suis lancé sur une étude exclusivement centrée sur le plateau de Gizeh. Je fais aussi une recherche poussée sur le cas d’une contactée française, Rose C. de Nîmes. J’écris une version corrigée de la trentaine de pages composant le Mahâbhârata. Durant cette même année, avec l’aide de deux contacts de la liste de discussion, Greg et Joël, nous nous rendons dans les archives de la bibliothèque de St Germain en Laye, pour consulter les correspondances et les ouvrages du regretté Jacques Bergier.

En Septembre, ma compagne et moi partons en vacances sur l’île de Beauté, et nous visitons un nombre incroyable de sites mégalithiques. Je suis heureux de me rendre sur les lieux même où j’ai découvert sur cartographie, deux ans auparavant, une géométrie entre chaque site.

L’automne de cette année va relancer mes recherches en parapsychologie, et cela de bien curieuse manière. Pour la première fois depuis des années, je parle de mes régressions à Guillaume, un membre du forum sur l’archéologie, venu me voir chez moi. Il me suggère de me rendre sur un site internet, du nom de Art’chives, et je m’y rends le soir même. C’est là que j’écris à deux correspondantes passionnantes, Agnès et Jane. Concernant mes recherches, je peux dire que c’est un tournant décisif. Avec les correspondances qui naissent, cela marque l’arrêt de mes recherches liées à l’archéologie insolite, pour me fixer davantage dans le domaine psychique. Pour autant, jamais je ne laisserai tomber mon thème de prédilection, car mon souhait sera de faire cohabiter les deux disciplines dans les années à venir.

Au mois de janvier 2001, Agnès m’accompagne dans la création d’un forum internet traitant des régressions, d’où on en ressort un protocole qu’on essaie immédiatement sur nous. Je l’essaie en premier et via la sophrologie, qu’elle maîtrise parfaitement, je pars en régression. En février, nous organisons un repas et une journée sur Paris, avec certains membres du forum que nous venons de créer. C’est là que je rencontre Jane, venue spécialement de Suisse pour l’occasion. Durant toute cette année, nous allons être en contact régulier, parfois quotidiennement. De très grands moments que nous avons partagé tous les deux, via clavier interposé, et dont le résultat final fera l’objet, j’en suis persuadé, d’une publication.

En juillet, je repars en Égypte, et je garde contact avec le guide qui nous accompagne durant le séjour, Aladin. En fin d’année, nous déménageons de la région parisienne, direction la cote ouest et la campagne vendéenne, près de Challans.

Année calme en 2002. Le fait le plus marquant concerne une régression effectuée avec Agnès. Cette expérience, marquante, a failli me faire arrêter les recherches concernant ce domaine particulier de la parapsychologie. A la même période (deux jours plus tard), nous rencontrons sur internet un petit groupe de chercheurs, dont les concordances de leurs visions et celles de Jane nous intriguent. Malheureusement, ce contact ne va durer que quelques semaines à peine.

L’année 2003 est centrée sur le travail collaboratif avec mon amie Jane. Ces visions abondantes au sujet d’un exode massif de la population d’un continent maintenant oublié me prend toute mon énergie cette année-là. Nos correspondances sont parfois quotidiennes. Durant cette année, en mars-avril, je visite les sites de Lussac-Les-Chateaux et de Glozel. En parallèle, j’ai commencé à lire le Nouveau Testament, à la base pour répondre à un message d’un ami, Yves-Marie. En débutant cette lecture, je ne me doutais pas que les prises de notes et pistes de réflexion ne faisaient que débuter et aller durer de nombreuses années.

En 2004, les visions de Jane s’arrêtent et d’un commun accord, je compile une partie du travail accompli avec elle depuis fin 2000. Il est décidé également de mettre certains extraits de ces visions en créant un site internet, du nom de Visions Atlantes. Je débute en parallèle l’étude du Pentateuque et du livre d’Enoch. Je poursuis toujours l’étude du N.T (Nouveau Testament), tout en m’octroyant une pause entre avril et octobre.

L’année 2005 est marquée par ma rencontre avec un lecteur du site internet dédié aux visions de Jane. Alexis deviendra un de mes meilleurs amis. Durant cette année, je visite à nouveau le Morbihan et ses innombrables menhirs.

En avril 2006, je me rends pour la troisième fois au Mexique, en restant 8 jours dans la péninsule du Yucatán. J’observe à nouveau dans le moindre détail le site de Chichen-Itza, théâtre des événements décrits dans mes régressions de 1991, 1993 et 2002. Je ne me souviens plus de ce que je fais le reste de l’année mais j’avance sur la plupart des dossiers en cours.

En 2007, je travaille énormément à la mise en place des dossiers et des fichiers en vue, un jour, de publier sous forme de plusieurs ouvrages les « Visions Atlantes » de Jane. Cela me prend l’essentiel de cette année, bien que la recherche sur le Nouveau Testament bat son plein aussi.

En 2008, je suis heureux d’apporter mon aide à un projet de Remote Viewing orchestré par Alexis, et j’écris les derniers chapitres de mon étude sur le Nouveau Testament. L’ouvrage s’intitule « La Vie Secrète de Jésus ». Durant l’été, j’ai entrepris la lecture du livre biblique et apocryphe d’Enoch, dont j’écris le brouillon de l’introduction et du chapitre 1. En septembre, j’ai repris également ‘envie d’écrire le récit de mes régressions mexicaines. Le livre s’intitulera « Chatla, la petite fille maya ». Je fais également de nouvelles découvertes sur la géométrie sacrée des sites d’Égypte.

moi en train de filmerDe 2009 à 2011, l’aide apportée dans le cadre du projet de R.V s’intensifie. Dans ce cadre, je fais la connaissance de plusieurs nouvelles personnes, dont un intuitif qu’on appellera Eric. Je termine également le livre sur Jésus et je commence sa relecture. Je me dis qu’il faudrait que je pense à éditer un jour mes recherches plutôt que de les écrire pour moi seul. Je mets le manuscrit à corriger par une écrivain public basée en Vendée, Nolween, mais je me rends compte surtout que le chemin est très long avant que je n’arrive à écrire correctement.

Au début de l’année 2012, je commence les expériences de remote viewing avec Eric comme intuitif. Avec trois sessions à suivre et les informations récoltées, je lance mon premier projet appelé le « Projet Espagne ».

Le premier trimestre, je travaille le soir en semaine sur mon étude sur le Mahabharata. Mon évolution littéraire est incontestable, et je souhaite remercier ici chaleureusement Monique. Elle aura été d’une patience infinie, m’a corrigé maintes fois les premières versions de ce texte et m’a donné de précieux conseils que j’ai appliqué au mieux. J’approuve le texte final mais il sera travaillé encore jusqu’en fin d’année 2015. Pour la petite histoire, Monique était un de mes premiers contacts internet en 1996.  En juillet, ma vie personnelle bascule pour le meilleur, du moins l’espérais-je. Je déménage de la Vendée pour me rendre en Bretagne.

le 21 décembre 2012, je me rends à Carnac pour observer le solstice d’hiver sur les sites mégalithiques de la région. Rencontre avec Howard Crowust.

En 2013, le projet Espagne prend son envol et près de 5 intuitifs viennent grossir les rangs de ce projet hors-norme. Le travail à accomplir est titanesque mais vraiment enthousiasmant.

En 2014, je créais ce blog WordPress. D’anciens contacts perdus depuis près de dix ans refont surface. J’ai repris l’écriture des ouvrages qui constitueront la trilogie des Visions Atlantes. En Septembre, je lance un nouveau projet de Remote Viewing. Le 6 décembre, je réalise ma toute première présentation publique, qui concerne les projets de visions à distance en cours, à Charenton à Paris, dans les locaux gentiment prêtés par la société Iris. Au plus profond de moi, j’ai émis l’intention que le projet Lussac deviendrait un jour un reportage vidéo à part entière..

En avril 2015, toutes les sessions concernant le projet Lussac. sont sur mon ordinateur. Commence alors une longue analyse de chaque donnée récoltée. Un rapport est rédigé, qui comporte près de 300 pages. Il sera présenté durant près de 2 heures, en avril de la même année, à la directrice du musée de Lussac, là où est exposé la cible, objet de l’enquête intuitive. En juin, je retrouve un ami via Facebook, une personne que j’ai connue sur internet voilà plus de 10 ans (Yves D.). En discutant avec lui, et via son ami Fabrice Bonvin, qui vient de publier un livre aux Éditions JMG, il me propose d’écrire à cet éditeur pour proposer mon étude sur le Mahâbhârata. Je contacte son responsable, Jean-Michel Grandsire, et lui envoie le manuscrit par mail. Quelques jours plus tard, j’apprends que mon livre est retenu pour être édité! (prévu en Janvier 2016 sous le titre « Les Vimanas, l’incroyable technologie des dieux »). Les deux dernières relectures de l’ouvrage me prennent beaucoup de temps (d’aout à début novembre). En parallèle, j’ai commencé à écrire ce qui deviendra le livre sur le projet Lussac, que je souhaite transmettre sous forme d’un roman. En octobre de la même année, j’écoute une interview passionnante sur une web-tv de Nora (qui deviendra Nurea Tv), qui m’amène à contacter cette personne, Thierry J. Avec son accord, le 3e projet de remote viewing est lancé. 7 intuitifs sont sur le coup cette fois.

En 2016, mon tout premier livre, « Vimanas », est édité aux Éditions JMG – Le Temps Présent. Il sort dans toutes les bonnes librairies et sur la plupart des sites en ligne le 17 janvier 2016. Grâce à un lecteur qui a trouvé le livre très bon, Pascal Fechner, futur directeur du MUFON France, le livre est mis en avant, et je l’en remercie encore chaleureusement.

Janvier : interview pour la page Facebook The Rob Charroux High School de Pascal Fechner, diffusée la semaine de sortie du livre. J’ai enchaîné quelques jours plus tard par ma toute première intervention radio sur BTLV. Vous pouvez l’écouter à cette adresse (les dix premières minutes sont en accès libre, mais pour l’intégralité -1 heure-, il faut être abonné à ce média, de qualité au demeurant).

Février : Gros travail de préparation sur le Powerpoint qui me servira de base pour la première conférence de ma vie, concernant le livre Vimanas.

Mars : Première conférence donnée au Repas Ufologique de Tours. J’ai découvert des  gens extraordinaires. Un de mes plus beaux souvenirs, à jamais gravé dans ma mémoire.

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Avril : avant de me rendre sur le lieu de mes prochaines conférences, j’ai passé beaucoup de temps à corriger mon Powerpoint de présentation, pour l’améliorer suite à mon passage à Tours. Après avoir passé une superbe soirée pour la conférence à Dax, le 13/04/2016, j’ai encore du corriger ma présentation, pour réduire sa durée (de plus de deux heures à 1h30). C’est cette version plus compacte que j’ai présentée à Bordeaux,  le 15/04/2016, devant plus de 60 personnes.

Mai : Invité au Repas Ufo de Paris.

Octobre : un plateau exceptionnel à Marseille, organisé par Pascal Fechner, et réunissant Bleuette Diot (historienne, archéologue, romancière, écrivaine) et Gilbert Attard (président du CROPS). Le même mois, une rupture difficile au niveau de ma vie privée, mais nécessaire.

Novembre : tous mes travaux sont mis entre parenthèse. Déménagement à Fougères et tous les tracas qui vont avec. Objectif à moyen terme : quitter le département (plus personne me retient) et revenir en Vendée.

Décembre : Thierry Jamin me contacte en privé pour me demander un avis extérieur pour une affaire très particulière.

En 2017, Patrice Pouillard, réalisateur du documentaire à sortir en 2018, « Les Bâtisseurs de l’Ancien Monde », me contacte pour y faire une apparition. Enregistrement de l’interview en mars, à une période difficile de ma vie. Quelques mois plus tard, j’apprendrais que mon intervention est coupée au montage, pour de très bonnes raisons, en tout cas, valables. Il n’empêche que le doc sera magnifique, quand il sortira.

Dès le mois de janvier, je décide de lancer une expérience de remote viewing sur la cible mystère de Thierry.

Le même mois, je renoue le contact avec Jane. Le projet « Exode » est relancé et je m’attaque à la relecture des textes dans le but de l’éditer un jour.

En 2018, les premières heures de la nouvelle année commence de la plus belle des manières, en compagnie de personnes magnifiques. Avec Bleuette Diot, nous lançons l’idée d’écrire un ouvrage en commun, sur la Vie de Jésus, et en reprenant une étude déjà réalisée de mon côté il y a plus de dix ans.

Un mois de janvier éprouvant, où, bien que malade, je travaille comme un forcené sur le livre de Jane (jusqu’à trois heures par soir). Objectif : finir le premier jet du livre dans son intégralité. Le dernier chapitre est très difficile à écrire (toujours en cours en septembre 2019).

Les autres mois voient le projet Lussac continuer à être écrit. Il avance doucement mais surement, au fil des mois. Connu pour « Vimanas » j’essaie peu à peu à me détacher du sujet pour faire comprendre que cette étude n’est qu’une partie de mes recherches. Lussac et les recherches sur l’intuition et la conscience m’inspirent davantage encore, et il faudra du temps pour faire émerger cette idée à mes lecteurs.

Un éditeur italien, Enrico Baccarini, passionné de l’Inde ancienne et auteur d’un ouvrage passionnant sur le sujet en Italie, me propose d’éditer mon livre dans son pays. Après la signature du contrat au premier trimestre, le livre sort en novembre 2018 en version papier et en ebook sur les terres de mes origines italiennes. Un grand merci à lui.

Je travaille également sur une nouvelle version du texte consacré à mes expériences d’hypnose régressive en terre maya, Chatla, la petite fille maya.

En 2019, tout s’accélère.

Je participe à plusieurs conférences lors du premier semestre, dont une qui reste dans mon esprit : un duo avec Elisabeth de Caligny, au Repas Ufo de Tours. Je présente pour la seule et unique fois une expérience de remote viewing consacrée à une affaire sensible, relative au projet de Thierry Jamin, l’Alien Project.

A Bordeaux, je fais là encore un duo, avec l’écrivaine Valérie Capelle, pour discuter d’un sujet qui me tient à coeur : la conscience. Je présente également pour la première fois lors d’une table ronde mes expériences de régressions sous hypnose (Chatla) et le projet de remote viewing Lussac, sans oublier de parler quelques minutes de Vimanas. J’en profite pour rencontrer un nouvel éditeur qui arrive sur le marché, Lux Co Editions, qui m’a demandé s’il pouvait prendre en charge l’édition du Projet Lussac. Le contrat est signé, mais il est fragile juridiquement, et à la fin de l’été, on décide de mettre un terme au contrat. Lussac est de nouveau libre de droit, et j’en continue d’affiner son contenu.

Toujours en début d’année, « Sarah », une amie du sud-est de la France, fan de mon livre Vimanas, me propose une traduction de ce manuscrit en anglais (travail toujours en cours en déc. 2019). Trouverai-je un éditeur anglais, américain ? Mon livre sera lu également par son mari, un réalisateur de doc/films, et un scénariste….Je croise les doigts, car j’ai toujours eu le rêve fou de voir Vimanas au ciné!

En juin, on me propose de participer à un projet complètement dingue, mais impossible à raconter ici. Grâce à ce projet, je fais la connaissance d’une personne extraordinaire, Romuald Leterrier…